Sándor Kónya n’avait peur de rien. Calaf, Mario Cavaradossi, Lohengrin, Radames et même O Paradiso.
Bayreuth l’invitant en 1958 découvrait un Lohengrin absolument exotique et tombait sous son charme : le temple était envahi par le bel canto, horreur ! Mais mon Dieu quel ténor ! Continuer la lecture de La voix Janus→
Tempo immuable, colonnes harmoniques droites, lignes mélodiques impavides ? Stanislaw Skrowaczewski n’entend pas son Bruckner comme cela. A quatre-vingt dix ans, il poursuivait son nouveau cycle à la tête de l’Orchestre Philharmonique de LondresContinuer la lecture de Le Bruckner d’un jeune homme→
Martha Argerich chérit sa personne et son art. Cela suffirait à Polina Leschenko pour carte de visite, mais une fois que l’on a découvert l’artiste, on ne peut plus s’en passer. Ce piano si libre, cette main droite si volatile, ce clavier si éruptif sont d’une magicienne. Continuer la lecture de Polina→
Je me souviens du premier disque Panufnik que j’ai mis sur ma platine, ramené d’un voyage à Londres. Jascha Horenstein y dirigeait quatre pièces orchestrales. Évidemment, je l’avais acheté pour le chef. Mais cet idiome pur, simple, à la croisée du néo-classicisme et du néo-romantisme m’enchanta illico, en particulier l’Autumn Music. Continuer la lecture de Le Polonais de Londres→
Un magazine pour les amoureux des répertoires classiques