Le couplage est classique. Dès le microsillon, il s’imposa sous les doigts de Claudio Arrau, de Géza Anda, tant suivirent, mais Reed Tetzloff et Sir John Eliot Gardiner ajoutent au rayon Schumann une nouvelle version, entendez une nouvelle version du texte. Continuer la lecture de La mineur
Constance
En 2010, Steven Osborne avait rejoint Paul Lewis pour un album Schubert à quatre mains dont la Fantaisie tourna longtemps dans ma platine. Le voici qui ose seul tout un disque Schubert. Contrairement aux pianistes de sa génération, ce n’est pas sur les espaces ouverts Continuer la lecture de Constance
Transcendance
Deux écueils guettent ceux qui s’aventurent aux Transcendantes. Certains s’y déboutonnent, d’autres s’y assèchent. Dans sa brève note d’intention, Yoav Levanon demande qu’on ne le croie pas prisonnier Continuer la lecture de Transcendance
Beethoven
Au centre de ce nouveau volume de sa série Schubert+, le cinquième (j’ai suivi toute la série), Can Çakmur fait fulminer les Variations sur un thème original. Beethoven est la clef de voute du disque Continuer la lecture de Beethoven
Avec réserves
Toucher mesuré, ton intime, couleurs discrètes, le Mozart d’Angela Hewitt ne sera pas cet opéra qu’invitait Claudio Arrau au centre du clavier ou l’appassionato épuré qu’y entendait Lili Kraus. Peu importe diront certains, la noblesse du jeu, l’élégance du discours Continuer la lecture de Avec réserves