Le seul récital qu’elle ait laissé au disque. Enregistré les 9, 11 et 13 septembre 2002.
Susan Chilcott y fêtait avec brio et esprit ses relevailles : on l’avait opéré d’un cancer du sein l’année précédente, elle s’en était remise, et rayonnait dans cette parenthèse enchantée Continuer la lecture de Ma Susan→
5 Octobre 2007, concert d’abonnement du Boston Symphony Orchestra, James Levine dirige Daphnis et Chloé, une de ses œuvres fétiches qu’il avait enregistrée pour Deutsche Grammophon avec les Wiener Philharmoniker, leur en faisant apprendre l’intégralité alors qu’ils n’en « connaissaient » que la Deuxième Suite. Disque splendide Continuer la lecture de Ravel=Boston→
Le spectacle de Simon McBurney avait divisé l’audience du Festival d’Aix-en-Provence, avec son Tamino randonneur et sa Reine de la Nuit en fauteuil roulant et canne. Pourquoi non ? Continuer la lecture de Flûte pas enchantée→
Henri Vieuxtemps passa pour la résurrection de Paganini, c’est du moins ainsi que Robert Schumann le considérait le plus sérieusement du monde. Le violoniste virtuose écrivit pour lui-même sept concertos qui peu à peu quittèrent le brio pour la poésie, et où l’orchestre se dévoile personnage à part entière. Continuer la lecture de A la conquête d’un autre archet→
Les années soixante pour Martina Arroyo, c’est l’époque bénie. Le MET l’a vu triompher en 1965 en Elizabeth de Valois, elle incarne Amelia, la Leonora de La Forza del destino, elle est devenue le grand soprano verdien qu’elle rêvait d’être. Cette diva du MET existait alors que Leontyne Price régnait, mais elle rayonnait absolument. Continuer la lecture de La voix du bon Dieu→
Un magazine pour les amoureux des répertoires classiques