Alors que je cherchais quelle version aurait bien pu se substituer pour le 2e Concerto à celle choisie par l’équipe de Diapason pour son coffret Chopin – Novaes et Szell en concert à New York – je tombais d’accord avec Alain Lompech. HaskilMarkevitch évidemment.
Troisième pianiste de notre session automnale à Neumarkt in der Oberpfalz : Schubert par la pianiste chinoise Ran Jia. Peu connue en France, pianiste à la technique superlative – elle est allée aux États-Unis étudier auprès de Gary Graffman, au Curtis Institute, après ses études au Conservatoire de Shangaï – cette jeune femme de vingt-trois ans est surtout une musicienne d’une grande finesse et d’une élégance incomparable. Pour ces deux jours, William Grant Naboré (de l’Académie Internationale de Piano de Côme) se joignait à Artalinna, et assurait la direction artistique de l’enregistrement. Continuer la lecture de Ran Jia : Schubert émerveillé→
Andrew Tyson serait-il le nouveau génie du piano américain ? Son premier opus discographique, consacré aux Préludes, à un Impromptu et à trois Mazurkas de Chopin répond oui. Bardé de prix, le jeune-homme joue en maître des timbres et sait faire oublier sa virtuosité derrière un propos poétique de tous les instants. Continuer la lecture de Un pianiste pour Chopin→
Une petite livraison de quatre nouveaux Originals DG n’en offre vraiment qu’un : Pinchas Zukerman interprétant sous la direction de Daniel Barenboim les Concertos de Sibelius et de Brahms, gravures pas reparues depuis leurs sorties respectives en microsillon Continuer la lecture de Zukerman l’oublié→
C’est mal, mais je ne résiste pas. J’ai signé le texte de la réédition Rameau des Marcelle Meyer chez Erato, mais me taire ici sur ce que je considère comme l’un de mes disques de chevet m’est impossible – foin du devoir de réserve.