L’éloquence du grand son, même dans l’intime des Préludes de Scriabine, tire illico l’oreille. Dans son piano sans un marteau, Evgeni Koroliov herborise d’un cahier de Préludes l’autre, traçant Continuer la lecture de Russie perdue
L’éloquence du grand son, même dans l’intime des Préludes de Scriabine, tire illico l’oreille. Dans son piano sans un marteau, Evgeni Koroliov herborise d’un cahier de Préludes l’autre, traçant Continuer la lecture de Russie perdue