William Steinberg et Gustav Mahler. Un Chant de la terre récemment exhumé par le Studio St. Laurent et chroniqué ici soulignait les affinités électives qui réunissaient l’art sévère du premier au lyrisme du second.
Idéalement, le piano lumineux, tendrement articulé, en timbres fusant de William Kapell était destiné à Mozart, et fut si rare en Mozart ! On passera sur quelques interférences qui viennent troubler Continuer la lecture de Les deux jeunes-hommes→
William Steinberg finira-t-il par compter au nombre des grands chefs mahlériens historiques ? Auteur d’une Titan anthologique que l’on rapprocha aux Etats-Unis pour la cursivité, l’élégance incisive Continuer la lecture de Un mahlérien→
Cela est entendu, depuis le magister de Sir John Barbirolli, l’Orchestre Hallé sait son Mahler au point d’ailleurs d’avoir transplanté en Albion les sonorités spécifiques des formations d’Europe centrale. Continuer la lecture de Théâtre d’ombres→
D’où coule chez Mahler cette veine alerte, impertinente, qui ne sait pourtant pas renoncer aux charmes ? De Haydn, semble dire Vladimir Jurowski, qui soigne son orchestre londonien comme une formation de chambre : cette flûte qui a un ton d’argent Continuer la lecture de Chemins célestes→
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