Mahler et Berlin aujourd’hui, très exactement au long de la seconde décennie du XXIe siècle.
Après la Seconde Guerre mondiale, l’orchestre aura longtemps renâclé devant le corpus, à l’égal des Wiener Philharmoniker. Mahler était chez lui à Amsterdam, plus autant dans les pays germanophones. Paradoxe Continuer la lecture de Mahler 21 à Berlin→
Das Klagende Lied, le conte horrifique, chef-d’œuvre absolu du jeune Gustav Mahler, manquait à la discographie de Michael Gielen. Miracle !, la Radio autrichienne avait conservé l’exécution fulgurante qu’il en avait donnée le 8 juin 1990, la voici enfin publiée Continuer la lecture de Noces de sang→
Un jour que je traînais chez Harold Moore, fouillant au rayon Berlioz, j’y trouvais une version des Nuits d’été par une mezzo-soprano dont le nom m’évoquait vaguement quelque chose. Rentré à l’hôtel qui disposait d’un méchant pick-up Continuer la lecture de Voix d’Irlande→
Surprise, Evidence publie à une distance de douze années ce Lied von der Erde donné en juin 2008 dans le grand vaisseau de la Basilique de Saint-Denis, et avec raison. Le concert est superbe d’intensité expressive, d’émotion Continuer la lecture de Grand Lied→
La « Pastorale » de Mahler tombe naturellement dans les cordes et plus encore dans les bois des Bamberger Symphoniker, orchestre historiquement composé de souffleurs et de violonistes sudètes, cette minorité allemande des bois et des vallons de Bohème et de Tchéquie ; après la Philharmonie Tchèque, le plus idiomatique des orchestres mahlériens Continuer la lecture de Himmlische→