À peine remis du brasier qu’ardait l’archet d’Ida Haendel dans l’orchestre de tempête dont la sertissait Sir Adrian Boult, me voici transporté dans le même maelström.
Aux premières mesures John Storgårds Continuer la lecture de Concerto-Monde
À peine remis du brasier qu’ardait l’archet d’Ida Haendel dans l’orchestre de tempête dont la sertissait Sir Adrian Boult, me voici transporté dans le même maelström.
Aux premières mesures John Storgårds Continuer la lecture de Concerto-Monde
James Ehnes enlève du Concerto de Stravinski les épines dont l’archet de Samuel Dushkin se délectait. Il était peut-être temps pour ce concerto-capriccioso de devenir un classique du XXe siècle Continuer la lecture de Apollon
Lorsque Jean Sibelius révisa en 1904 le Concerto pour violon dont il avait achevé la composition l’année précédente, il savait qu’il tenait une manière de chef-d’œuvre. Continuer la lecture de Radical
Il fallait bien pour aviver le génie visionnaire du jeune Ralph Vaughan Williams la poésie venteuse, le lyrisme rude et conquérant des vers de Walt Whithman. Le plus incroyable reste que le jeune homme haussa sa musique au même niveau de flamboiement Continuer la lecture de Symphonie des embruns
Cet album aimé réunit les œuvres d’un tout jeune homme – Mozart aura écrit tout ses concertos pour violon avant ses vingt ans – sous l’archet d’un violoniste qui n’avait pas encore atteint la trentaine. En 2005, dans l’acoustique naturelle parfaite du George Weston Recital Hall de Toronto, avec un orchestre léger mais sonore, James Ehnes enregistrait ce double album qui me revient aujourd’hui : il y présentait ses propres cadences, exemples de style et d’invention réunis. Continuer la lecture de Une idée de la perfection