Idée irrésistible, du moins sur le papier. Dagmar Pecková, connue pour sa fantaisie et son aplomb, enregistre tout un disque du répertoire Weill chéri par Lotte Lenya.
Ténor Mozart absolu, chez lui chez Schubert comme plus aucun ténor n’y fut depuis Wunderlich et Haefliger, voici que Pavol Breslik nous offre un plein album de mélodies de Dvořák, revenant à sa langue natale.
Au début des années cinquante, Tatiana Nikolayeva, avec en poche son titre de gloire du Concours Bach de Leipzig, fut dépêchée dans les capitales du bloc soviétique, ambassadrice de charme : elle était alors cette jeune fille si mince Continuer la lecture de La jeunesse→
Tout récemment, Warner publiait un opulent coffret regroupant tout ce que Zuzana Růžičková avait laissé paraître de son legs Bach chez Erato, une quasi intégrale des œuvres de clavecin Continuer la lecture de Concertos de guerre→
D’où Franz Xaver Richter tenait-il le sens du pathétique qui anime cette Deposizione ? Probablement de son temps de Mannheim où, chantant de sa belle basse et jouant en virtuose du violon, il fut de tous les concerts d’importance Continuer la lecture de Golgotha de Mannheim→
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