Un regret taraudait Bohuslav Martinů au soir de sa vie : il n’avait jamais entendu son Bouquet de fleurs, cantate écrite pour la radiodiffusion, depuis sa création par Otakar Jeremiáš à Prague en 1938, alors même qu’il était déjà en exil.
Au chapitre Asraël, je croyais l’affaire réglée. Malgré Neumann, Pešek, Petrenko, Mackerras, Bělohlávek, Svetlanov, Václav Talich dominait, imparable, fantasque, cruel. Seul Rafael Kubelík en concert avec ses chers Bavarois avaient pu Continuer la lecture de Symphonie funèbre→
Ce n’est plus un secret, au centre des opéras de Janáček, de tous ses opéras, un personnage supplémentaire – et décisif – s’invite : l’orchestre. Au point que les chefs d’orchestre Continuer la lecture de Opéra-Symphonies→