Jeunesse et Tombeau

Meisterwerke : Enesco, dix-huit printemps, délivre son chef-d’œuvre, au sens que lui donnaient les Compagnons. L’Octuor, qui s’élargit si aisément aux enchevêtrements plus complexes de l’orchestre de cordes, est un précipité du post-Romantisme et de la science contrapuntique des maîtres anciens. Continuer la lecture de Jeunesse et Tombeau

Les deux Bayreuth

Les sonneries des cors du Fliegende Holländer résonnent, appelant le public à revenir dans l’antre, ce soir de l’été 1955 Joseph Keilberth réglait le plus noir des Vaisseau fantôme que le disque portera jamais, Hermann Uhde réunissant dans sa grande voix d’abîme la damnation d’Herbert Janssen et la folie de George London. Continuer la lecture de Les deux Bayreuth